Sujet: comment fait-on les bébés ? (toto) Dim 24 Mai - 0:27
Comment fait-on les bébés ?
Il avait du mal avec ce changement, cette révolution, cela ne l'enchantait guère, cependant il devait s'adapter, s'intégrer comme toute personne. Et c'est comme ça qu'un ami avait eu amabilité de l'invité à une charmante soirée, en compagnie de personne, cherchant seulement à s'amuser. Cela était bien pensé, néanmoins pas à son goût. Raffael trouvait qu'il y avait beaucoup trop de monde, et qui parlait beaucoup trop fort. Selena était sa compagne, son amante, pourquoi s'emmerderait-il à aller dans ce genre d'événement grotesque et vulgaire, surtout pour s'amuser en ce moment. Le jeune homme grinça des dents, sceptique de continuer la soirée dans cet endroit. Il compta prendre les clés de sa moto, pour pouvoir retrouver dans sa demeure luxueuse. Lorsqu'il aperçut quelqu'un, d'un âge assez jeune, pas assez mûre pour ce genre de chose, et qui semblait un peu perdu. Est-ce qu'elle recherchait quelqu'un ? Ou bien était-elle également invité ? Le côté instinct, et paternel de l'homme survint pour pouvoir aider la personne, ou la jeune femme à retrouver le chemin. Il reprit sa chemise de couleur noire, en cuir pour pouvoir marcher en sa direction, calmement, fronçant des sourcils à la vue de ce monde qui se préoccupait pas d'abandonner une enfant dans cet événement. Qui pouvait faire une chose comme ca ? Le pilote posa une main sur la demoiselle, d'un air rassurant, avec un beau sourire pour montrer qu'il n'avait aucune mauvaise attention, malgré ce qu'on pourrait croire. Il demanda ensuite calmement espérant pouvoir la raccompagner ou emmener autre part. « Il n'est pas bon de fréquenter ce genre d'endroit choquant à ton âge. » informait-il sans aucun sous-entendu.
Il se disait qu'une bonne chose serait d'abord de se présenter, pour qu'elle ne prenne pas peur de parler à un inconnu même s'il était incroyablement sexy. Le pilote décida d'être plus entrepreneur en continuant de parler pour pouvoir rassurer davantage la jeune femme. « Je me présente, je m'appelle Raffael Livington. Ca te dirait de prendre l'air un moment ? » proposait-il avant de lui demander de s'éloigner de là d'un mouvement de tête. Lorsqu'il vit que la jeune femme accepta, il prit les clés de sa poche pour être sur qu'à son retour il rentrera directement dans sa maison. Il ne savait même pas ce qui lui avait pris d'accepter la requête de son ami, qui se disait vouloir aider de se remettre de la mort de sa femme. Qui est morte y a seulement quelques temps. Ce qui est équivalent à quelques mois uniquement pour Raffael. Le temps ne lui avait pas été favorable pour oublier sa femme et son futur enfant. Il se croyait fort, courageux, et même téméraire, mais en réalité quand on perd quelqu'un, on perd tout ce qui font de nous un homme viril. Car une femme est quand même importante pour un homme. Ce que beaucoup semblait avoir oublier maintenant. A voir comment se comporter les hommes, du moins certains, ce n'était que des objets, qu'ils changeaient tout le temps, sans accroche, seulement pour s'occuper. Et sans se douter qu'ils pourraient blesser à un moment donné la personne. Lui avait commencé à vouloir prendre plaisir, néanmoins il faisait attention aux femmes, et faisait en sorte de pouvoir être un homme galant, courtois, pour rappeler leur importance dans ce monde. Et qu'il était inutile de se prostitué même sans argent à des hommes.
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Sujet: Re: comment fait-on les bébés ? (toto) Dim 24 Mai - 1:51
Comment fait-on les bébés ?
Mais je suis terriblement effrayée pour te dire la vérité. Parce qu'ici tu pourrais très bien m'abandonner. Mais je ne suis pas encore prête, tu le sais. J'aimerai pouvoir disparaître ou m'effacer. Je suis sans doute encore une enfant. Une fille qui a toujours besoin de ses parents. Pour lui rappeler un peu comment se tenir. Quelqu'un pour l'aider à bien se conduire.
Raffael & Tory
Tory avait l'impression d'être le dindon de sa propre farce. C'est elle qui avait voulu de son plein gré – sur conseil de son frère quand même – s'ouvrir au monde urbain et à la révolution qui fonçait droit sur elle. Sauf qu'elle ne s'imaginait absolument pas finir dans ce genre de... situation, dirons-nous. Elle était dans une robe, qui en plus d'être outrageusement pailletée, était tellement serrée au niveau de sa taille qu'elle lui donnait un air encore plus brindille que d'habitude. Ses cheveux étaient attachés en arrière mais quelques mèches folles se dégageaient du devant pour dégringoler sur ses joues et se coller à ses lèvres où elle avait eu le malheur de mettre un peu de rouge à lèvres. Puisqu'elle peinait énormément à se déplacer avec ses espèces de grosses chaussures compensées, elle restait sur place, droite comme un piquet, à boire comme une potiche. Oh oui. Qu'elle se sentait bête ! Puis pour la rendre encore un peu plus mal à l'aise, il y avait tous ses regards de travers que lui lançaient aussi bien les hommes que les femmes de la soirée. Qu'est-ce qu'ils voulaient tous à la fin ? Tory n'était pas une pomme sur un étalage fruitier, non de non !
Totalement dépaysée, la rouquine se dressait de tout son long au milieu de la salle pour essayer de voir quelqu'un de familier. N'importe quelle tête, tant qu'elle la connaissait. Soudain, une main se posa sur son épaule. La jeune demoiselle sursauta et manqua de tomber à la renverse tellement cela l'avait surprise. Un homme, plutôt grand et imposant, la regardait d'un air rassurant et lui dit doucement « Il n'est pas bon de fréquenter ce gendre d'endroit choquant à ton âge. » Tory aurait bien hoché la tête pour confirmer ces dires, sauf qu'elle était un peu trop effrayée de se faire comme ça aborder par un parfait étranger. Un étranger avec quand même un bien joli prénom. Sans doute lui avait-il donné pour rassurer le pauvre petit oiseau perdu. Tory déglutit bruyamment puis balbutia difficilement : « Euh... Tory. Tory Young. Je... Oui. Ouais ! » Elle suivit le dénommé Raffael – en manquant de trébucher plusieurs fois au sol – jusqu'à l'extérieur. Quand ils furent à l'abri des regards, la rousse posa ses mains sur ses hanches et prit une grande bouffée d'être frais en fermant les yeux. Si l'un de ses frères la voyait actuellement, c'était obligé qu'il se marre. Surtout Daniel, pensait-elle. Elle jeta un coup d’œil de travers au grand bonhomme qui l'accompagnait. Elle avait envie d'enlever ses chaussures. Mais est-ce que cela se faisait ? Elle fit une moue avant de laisser retomber ses mains le long de son corps. Fallait-il qu'elle engage la conversation ? Si oui, qu'est-ce qu'elle devait dire ? Lui demander si c'était un habitué de ce genre d'événement ? Ou parler peut-être de la pluie et du beau temps ? Tory n'était pas à l'aise. Vraiment pas à l'aise du tout. Bien sûr, elle était contente de ne plus être au milieu de cette foule de gens loufoques qui ne cessaient de la reluquer de haut en bas. Mais elle ne savait pas vraiment si c'était mieux d'être seule, dehors, avec un grand gaillard qui pourrait couvrir l'intégralité de son visage juste avec la paume d'une de ses mains.
Sujet: Re: comment fait-on les bébés ? (toto) Mar 26 Mai - 20:05
Comment fait-on les bébés ?
Il souffrait suffisamment dans son monde, pourquoi voudrait-on emmener dans cet endroit. Raffy avait déjà quelques personnes régulièrement, qui l'appréciait beaucoup. Oui, bien entendu ce n'était que des personnes qui couchaient avec le jeune homme, pour prendre plaisir, cependant il a instauré comme une relation avec chaque personne. Pourquoi avait-il besoin d'aller dans des orgies ? Pour instaurer son rang de libertin ? Il en était hors de question c'était dégradant, et ça sentait mauvais vu les couples qui couchaient ensemble. Lui aimait bécoter dans des soirées ou de riches personnes s'y retrouvaient, pour simplement manger, rencontrer des personnes intéressés pour une relation sexuelle, pour prendre le plaisir comme il vient. C'était une occupation, non un amusement comme les orgies ! Il emmena avec lui une jeune femme toute aussi perdu que lui, surtout pas de son âge, quelle est la personne irresponsable, et stupide d'emmener une enfant dans ce genre d'endroit sale et dégradant. Bien le genre des nouvelles femmes qui veulent entrainer la nouvelle génération. Là au moins elle serait à son aise, et aurait aucun mal à respirer normalement. Le pilote passa sa main derrière son dos pour pouvoir entrainer dehors. Elle s’appelait Tory, la demoiselle, un beau prénom pour une jeune femme, ca serait dommage de la gâcher. « Enchanté Tory. » dit-il à sa présentation, avant de voir qu'elle était vraiment mal avec ses chaussures. Il se mit à sourire amusé, voyant la gêne, qu'elle avait à penser si cela était convenable ou non. Raffy aurait été père y a pas longtemps, du coup il faut voir surtout le bel homme comme une sorte de parent, un paternel qui voulait seulement la protéger.
« Je vois que tu as mal aux pieds. Tu peux les retirer cela me gêne absolument pas. » conseillait-il en commençant à marcher jusqu'à sa moto pour pouvoir emmener dans sa maison pour être que personne s'en prendre à la demoiselle. Qui était au mauvais endroit, au mauvais moment, surtout avec des personnes qui exploitent leur « liberté » pas comme ils devraient. Oui, peut-être était-il un peu vieux jeu ! Cependant quand on a vécu longtemps avec l'amour, avec une personne qu'on aime, on voit ça comme une insulte, une provocation, aux personnes qui veulent que leur couple dure, que l'amour prospère longtemps. Là c'est plutôt le sexe qui veulent faire durer, se moquant des dangers, des maladies, de l'amour même, ce qui est important pour certains. Et qui réduit la femme à la sexualité, comme la prostitué, ou même les escort-girls. Dégradant ! « Tu veux manger un morceau ? Je te ramènerai chez toi après ! Ca te va ? » demandait-il comme proposition pour qu'elle ne termine pas la soirée en mauvaise posture, a dire qu'elle a fréquenter une orgie à cause de quelqu'un. Et qu'elle a pu quand même s'amuser un peu et manger un morceau. Certes, on dit de ne pas parler aux inconnus, ou de pas suivre quelqu'un. Que cela peut être dangereux, mais elle a pourtant suivi une femme ou un homme dans ce genre d'endroit. C'est beaucoup plus dangereux ! La personne aurait pu la forcer à coucher, ou même lui aurait proposé un homme pour accompagner, et gâcher son innocence, sa version du monde beaucoup trop imagé par une « liberté » précoce. Le mauvais exemple qu'on puisse donner à quelqu'un de dix-neuf ans qui cherche seulement à grandir. Il sourit doucement, avant de penser qu'il devrait quand même savoir ou elle habite pour être sur de ne pas oublier en court de chemin, vu l'épuisement, ou même une alerte, qui les empêcherait de rentrer dans la précipitation. Il faut s'y prendre beaucoup plutôt « Ou est-ce que tu habites ? Que je puisse m'orienter sans aucun mal pour te ramener ! » expliquait-il, en lui tendant un casque de moto. Il en avait un deuxième, c'était soit un ami, ou auparavant sa femme, du coup il sert quand même à quelque chose.
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Sujet: Re: comment fait-on les bébés ? (toto) Mer 10 Juin - 22:17
Comment fait-on les bébés ?
Mais je suis terriblement effrayée pour te dire la vérité. Parce qu'ici tu pourrais très bien m'abandonner. Mais je ne suis pas encore prête, tu le sais. J'aimerai pouvoir disparaître ou m'effacer. Je suis sans doute encore une enfant. Une fille qui a toujours besoin de ses parents. Pour lui rappeler un peu comment se tenir. Quelqu'un pour l'aider à bien se conduire.
Raffael & Tory
Tory ricana bruyamment. À croire que l'homme avait lu très clairement dans son esprit qu'elle voulait enlever ses chaussures (et rapidement s'il vous plaît !). Cependant, malgré cette autorisation, la demoiselle les garda. Question de savoir vivre, voyez vous ? Beaucoup pense que puisque Tory vient d'un quartier plutôt rustre, que ses cheveux ne sont jamais brossés et qu'elle mange avec les doigts, elle n'a aucune manière. Mais c'est totalement faux. Sa mère, entre deux vagues de dépression, lui apprenait énormément de choses ! Daniel également. C'était son frère le plus... Dur à dire. Mais en tout cas, il avait énormément de savoir-vivre ! Quoi que c'était surtout un genre qu'il se donnait pour plaire à la gente féminine. Enfin bref !
La proposition de Raffael d'aller manger quelque chose enchanta la rousse. Cependant, était-ce vraiment bien de suivre un parfait inconnu on ne sait trop où ? Tory cligna plusieurs fois des yeux. « Hum... En fait... Hum... » Non, vraiment, elle ne savait pas. Son estomac lui criait d'y aller sans trop réfléchir tandis que la voix de Joe faisait écho dans sa tête et lui rappelait de se méfier des inconnus. Surtout par les temps qui courent, rajoute toujours Jimmy ! Ah... Si seulement ces tendres dingos pouvaient s'entendre de temps en temps. Tory ricana à nouveau toute seule (mais en silence cette fois) alors que Raffael continuait de parler. Il disait quelque chose comme la ramener chez elle après avoir casser le croûte. Arf ! Que répondre ? Tory fit la moue, tordant sa bouche dans tous les sens. Puis finalement, lorsqu'elle se retrouva avec un casque entre les mains, elle le mit machinalement sur sa tête. Les réflexions sont tenaces. Du coup, puisqu'elle aurait eu l'air terriblement bête à retirer le casque, elle grimpa sur la moto. « Je préfère vous guider plutôt que vous donnez mon adresse. Puis il y a mon frère chez moi, hein ! » Stupide petite rouquine va. Le guider ou lui donner l'adresse, c'est exactement la même chose ! S'il veut t'égorger dans ton sommeil, il s'appliquera très bien à retenir le chemin. Qui plus est, la tentative de pression en mode ''mon frère est à la maison, si vous tentez de me faire le moindre mal, il sortira les poings'' n'était absolument pas passer inaperçue et semblait bien ridicule. Tory ceintura le conducteur installé en face d'elle et se recula le plus possible au fond de la moto pour ne pas être collée à son dos. « On peut y aller ! » Cria-t-elle à plein poumon, craignant qu'elle ne soit pas entendue à cause de son casque.
Tory aime bien, voir beaucoup, les motos. Quand elle en entend le son, elle croit se souvenir d'une large silhouette filant à toute allure sur les routes. Et même, quand parfois elle ferme les yeux et se concentre fort, elle peut sentir un parfum. Quelque chose de fort et poivré. Allez savoir pourquoi.